Les agents vont procéder au contrôle des poids-lourds, des véhicules d’auto-école, ainsi que des taxis, limousines avec chauffeurs et autres transports spécialisés. Les conducteurs devront aussi tester leur taux d’alcool dans le sang.
Des drones et des motards de la police rabattent des véhicules dans tout le quartier vers le lieu de contrôle. “On a déjà déployé par le passé ce type de dispositif au niveau du viaduc Herrmann Debroux et on souhaite en faire au moins un par an, mais on a été un peu freiné par la COVID et c’est seulement notre 2e contrôle du genre”, explique la porte-parole de Bruxelles-Mobilité Camille Thiry.
“Le grand public se rend peut-être moins compte de l’intérêt de contrôler ce type de véhicules, mais c’est aussi important pour la sécurité. Par exemple, ce matin, on a vu que des ceintures n’étaient pas conformes dans un véhicule de transport scolaire. On a immobilisé des camions dont les chargements dépassaient de manière surréaliste les limites légales.” Elle estime que la moitié des véhicules contrôlés au matin n’étaient pas en ordre.
Plusieurs pôles du service “Exploitation et Transport” de Bruxelles Mobilité sont impliqués, notamment ceux liés au transport exceptionnel, au contrôle technique, et contrôle des auto-écoles. La police, l’inspection du travail, la sécurité sociale et l’agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire sont également mobilisés.
Bruxelles Mobilité explique dans son communiqué que ce type d’initiative vise à “travailler de manière transversale et coordonnée entre toutes les instances pour réduire les comportements dangereux ou inadaptés sur la route et ainsi réduire le risque d’accidents.”
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