Après le succès mondial du F-Pace, il était logique que Jaguar poursuive sur la voie du SUV, cette fois avec un modèle compact développé sur la base du Range Rover Evoque. Jaguar a cependant revu copieusement les liaisons au sol pour gagner en sportivité.
En entrée de gamme, le E-Pace s’affiche à 36.050€. Pour ce tarif, l’acheteur n’a droit qu’au deux litres Diesel de 150 ch, avec seulement deux roues motrices et une boîte manuelle à 6 rapports. Tout à l’opposé de la liste des tarifs, le E-Pace P300 (2 litres essence de 300 ch, le même moteur que le Coupé F-Type), exécution R-Dynamic, en version 4 roues motrices et traction intégrale sportive Active Driveline coûte, lui, 65.150 €.
Le programme comporte 4 degrés d’équipement («normal», S, SE et HSE), plus une version temporaire First Edition (seulement en D180 et P240), deux finitions générales (normale et R-Dynamic), deux moteurs à essence (P250 et P300) et trois moteurs Diesel (D150, D180 et D240). Toutes ces mécaniques sont des 2 litres à 4 cylindres de la nouvelle génération Ingenium.
Deux transmissions intégrales sont de série, à savoir une Efficient Driveline (coupleur Haldex) pour les D150, D180 et P240, et l’autre, plus sportive, dénommée Active Driveline et développée par GKN. Cette dernière est – sur le fond – la même que celle équipant la Ford Focus RS !
De toute évidence, le Jaguar E-Pace tiendra le rôle de vedette de la marque sur son stand lors du prochain Salon de Bruxelles, en janvier.
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