Rassurez-vous, selon le texte (lien ci-dessous, en anglais), cette boîte noire ne devra pas enregistrer tous nos faits et gestes, ainsi que nos trajets. Sa présence est surtout liée aux assistances à la conduite : en particulier, le maintien de voie automatisé (ALKS ou Automated Lane Keeping System en anglais), soit une assistance de niveau 3. Nouveauté : cette assistance ne pourra être utilisée que sur des voies interdites aux cyclistes et aux piétons, à une vitesse maximale de 60 km/h, et avec une séparation physique qui empêche de rencontrer du trafic venant en sens inverse.
Quand la boîte noire entrera-t-elle en jeu ?
Selon ce texte, qui entrera en vigueur le 21 janvier prochain au Japon et plus tard en Europe (sujet à modification selon les lois nationales), cette fameuse boîte noire ne doit enregistrer que : l’activation et la désactivation des assistances à la conduite ; la réduction ou la suppression de l’intervention du conducteur ; les manœuvres d’urgence ; l’implication dans une collision ; l’engagement du système dans une manœuvre à risque et les défaillances de celui-ci.
Comme dans les avions, cette boîte noire devra permettre de comprendre à qui incombe la faute en cas d’accident : au système autonome ou au conducteur ? Ceci est donc une avancée majeure pour l’arrivée des voitures autonomes.
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