Les chiffres du mois de mai 2024 du marché automobile sont éloquents : les voitures d’occasion continuent d’attirer les acheteurs avec une progression du marché de +4,3% alors que celui des voitures neuves est en repli de -5,9%. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, on observe aussi une forte appétence pour les voitures électriques de seconde main, notamment en Flandre. Mais on sait pourquoi.
Acheter une voiture neuve
Dans un débat autour de la mobilité, certains observateurs indiquent que le prix des voitures neuves va encore augmenter, notamment en raison des nouvelles règles de sécurité imposées par l’Europe. Les prix pourraient augmenter de +10%, soit 3.000 euros pour une voiture qui en coûte 30.000 aujourd’hui.
Un achat automobile reste onéreux. Dès lors, nombreux sont les automobilistes qui cherchent les bons plans, ceux qui leur permettront d’économiser quelques centaines voire quelques milliers d’euros. Parmi ces bons plans, que vaut celui d’envisager un achat à l’étranger ?
On le sait : il n’y a pas de Salon de l’Auto traditionnel cette année, cette grande messe ayant été remplacée par deux événements distincts. Mais cette absence ne décourage pas les constructeurs automobiles qui ont prévu de faire du chiffre malgré tout en proposant d’alléchantes remises. Tour d’horizon.
Selon une enquête de la fédération Traxio, trois Belges sur dix auraient l’intention d’acheter une nouvelle voiture en 2024. De quoi réjouir le marché ?
Une enquête montre que l’incertitude règne en maître sur le marché de la voiture neuve. Entre voiture électrique, hybride ou thermique, la moitié des acheteurs ne savent pas quoi choisir…
Skoda a décidé de casser les prix pour se faire une place de choix sur le marché de la voiture électrique. Désormais, le SUV Enyaq est disponible à moins de 40.000 euros, voir beaucoup moins encore pour les acheteurs particuliers qui résident en Flandre.
Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de salon traditionnel à Bruxelles en janvier 2024 que les ventes de voitures vont ralentir. Car les constructeurs mettent tout en œuvre pour proposer des ristournes intéressantes. Et du côté des organismes de crédits, la guerre des taux a débuté.
Selon Belfius, le Belge doit de plus en plus s’endetter pour acquérir des biens et notamment une automobile. Selon les statistiques, en l’espace d’un an seulement, le consommateur doit emprunter environ 10% de plus pour acheter une voiture. Tenable ?
Le réflexe de négocier avant d’acheter une voiture est largement ancré dans nos habitudes, une pratique encouragée elle-même par les fabricants. Sauf que les choses ont changé depuis la crise de la Covid-19 avec des choix qui se font de plus en plus via internet. Les concessions ne constituent dès lors plus un point de contact privilégié, ce qui risque fortement de mettre fin à de nombreuses ristournes.
L’offre automobile s’est considérablement élargie ces dernières années et pas seulement en termes d’équipements ou de carrosseries. Les motorisations se sont aussi largement diversifiées au point que dans le contexte actuel de transition énergétique, il est très compliqué de faire un choix. Voici quelques conseils qui vous permettront de mieux poser un choix.
Statbel, l’Office belge des statistiques, constate que le prix des voitures neuves a augmenté en Belgique de plus de 10% entre mars 2020 et octobre 2022. La faute à l’inflation. Oui, mais pas que…
Acheter une voiture à l’étranger et l’importer en Belgique peut parfois s’avérer être une bonne opération, car l’offre est souvent plus diversifiée dans d’autres pays tandis que les prix peuvent être moins chers. Mais comment faire ? Quelles sont les démarches à accomplir. Suivez le guide.
Le marché des voitures neuves continue d’être chahuté par des délais de livraison fluctuants et souvent beaucoup plus longs qu’annoncé. Il faut aujourd’hui en moyenne compter un an avant de se voir livrer sa commande.
La réputé cabinet d’études J.D. Power indique à la suite à une étude que les voitures neuves poseraient davantage de problèmes à leur propriétaire. Ce serait un phénomène plutôt récent lié de surcroît à la pandémie de Covid-19.