Nous avons testé la nouvelle Opel Astra – la sixième génération à ce jour – au début de l’année. Ce modèle, basé sur la Peugeot 308, est actuellement commercialisé en version diesel, essence et hybride rechargeable. A cela s’ajoutera donc une version 100% électrique baptisée Astra Electric.
Histoire de « e »
La société mère Stellantis a décidé qu’Opel ne vendrait des véhicules électriques en Europe qu’à partir de 2028. Il est donc naturel que les premières mesures soient prises maintenant.
En break aussi
L’Astra électrique se décline en deux carrosseries : une bicorps à cinq portes et un break (Sports Tourer). Techniquement, elles sont identiques, avec sous le capot un moteur électrique de 156 ch et 270 Nm, lui-même couplé à une batterie de 54 kWh qui promet une autonomie WLTP de 416 km. Si vous la branchez au chargeur rapide (100 kW), une demi-heure suffira pour atteindre 80% de la capacité. Si vous ne pouvez pas vous empêcher d’utiliser le chargeur intégré de 11 kW, alors cinq heures devraient faire l’affaire.
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Est-ce qu’elle accélère bien ?
Probablement oui, bien que le chiffre du sprint de 0 à 100km/h soit pour l’instant une supposition. Ce que nous savons déjà, c’est que la vitesse maximale est de 170 km/h. Cela semble “peu”, mais ce n’est pas si mal pour une voiture électrique. En comparaison, la Mercedes EQC s’arrête à 180 km/h.
Quand ?
Les carnets de commande de l’Opel Astra Electric berline seront ouverts au début de l’année prochaine, tandis qu’il faudra s’armer de patience pour le break jusqu’à l’été (avec une livraison prévue pour la fin de l’année). Pour les puristes, la marque fait revivre le label sportif GSE.
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