Si l’Allemagne est connue pour ses automobiles ou sa bière, elle l’est aussi pour ses autoroutes qui sont en principe illimitées en vitesse. Vue de l’extérieur, cette pratique est aussi excitante qu’anachronique, surtout à l’ère de la voiture électrique. Mais pourquoi les autoroutes allemandes sont-elles illimitées et le restent-elles ?
Mobilité
Au départ, la Wallonie souhaitait instaurer une immense zone de basses émissions (LEZ) pour éliminer progressivement les voitures les plus polluantes. Il n’en sera rien. Le décret a été abrogé, ce qui signifie que toutes les voitures peuvent circuler librement, quel que soit leur niveau d’émissions. Une victoire ?
Conserver ou supprimer les voitures de société ? La question a été abordée à maintes reprises, mais jusqu’ici, aucune décision n’a encore été prise et le système perdure. Pourtant, selon un sondage de Het Laatste Nieuws et VTM Nieuws, 60% des Flamands interrogés se disent prêts à supprimer ce régime.
Au centre de tous les débats politiques, l’affaire des travaux Carrefour Léonard n’a pas trouvé d’oreille attentive auprès de la justice où une plainte avait été déposée par la commune d’Auderghem. Résultat : la bretelle menant vers Waterloo sera bien fermée, garantie d’un chaos routier dont les navetteurs feront les frais.
Les travaux au Carrefour Léonard font actuellement l’objet d’un véritable bras de fer entre la Région flamande, les communes avoisinantes et même la Wallonie en raison de la fermeture de plusieurs embranchements supplémentaires. Les automobilistes vont donc chercher des trajets alternatifs. Mais gare aux amendes qui pourraient pleuvoir, prévient Touring !
On parle beaucoup d’intelligence artificielle, une technologie qui peut naturellement être employée dans bien des domaines. Et c’est le cas aussi en sécurité routière et plus exactement en gestion du trafic où elle pourrait intervenir pour éviter la formation de bouchons. Réaliste ?
Selon un baromètre d’Europ Assistance, la voiture électrique éprouve encore des difficultés à s’imposer dans le cœur et les intentions d’achat des Belges. Même si près de la moitié de nos compatriotes disent que leur prochaine voiture sera électrique, 24% des sondés estiment que cela n’arrivera pas avant 2035.