Selon Sony, la Vision-S n’est destinée qu’à démontrer les avancées de l’entreprise en matière de technologie embarquée, tant sur le plan de la sécurité que de l’infodivertissement. On retrouve ainsi une multitude d’écrans à bord, aussi bien pour les passagers avant que ceux assis à l’arrière, et une connectivité évidemment au top du top.
La berline embarque également 33 capteurs de toutes sortes – caméras, lidars, radars – pour lui permettre de se mouvoir de façon entièrement autonome dans la circulation. Evidemment, il s’agit d’une voiture électrique dont on sait pour l’instant que les deux moteurs d’une puissance cumulée de 526 chevaux, lui permettent de passer de 0 à 100 km/h en 4,8 secondes.
Si l’on en croit le géant de l’électronique japonais, cette voiture n’a donc d’autre but que de fouler les moquettes des salons en guise de démonstration du savoir-faire de la marque. Certains éléments laissent toutefois penser que Sony en profite également pour tâter le terrain et sonder la réception de son modèle par un public forcément technophile. Car pour un démonstrateur, la voiture semble étonnamment aboutie sur le plan technique.
En plus d’un design finalement très conventionnel qui ne dénoterait pas dans la rue – contrairement aux concepts habituels – la voiture est déjà dotée de jantes « normales », d’un système de freinage complet et même d’essuie-glaces. Et elle repose sur un châssis développé par l’équipementier canadien Magna. Ça fait beaucoup pour un concept, non ?
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