Nissan GT-R
Lancée en 2007, la Nissan GT-R avait depuis longtemps dépassé l’âge d’une retraite bien méritée. Pourtant, les performances de son V6 3,8 litres biturbo étaient toujours d’actualité, de même que sa transmission intégrale. Au fil des années, elle a connu cinq phases différentes (avec une puissance cumulant à 570 ch), ainsi que plusieurs éditions spéciales. Vendue au compte-gouttes depuis quelques années, elle s’en est allée sur la pointe des pieds.
Lotus Elise
Lancée à un moment où Lotus allait très mal, l’Elise a relancé la firme sur le devant de la scène. Fidèle à l’adage de Colin Chapman (créateur de la marque) « Light is Right », l’Elise proposait à ses débuts de belles performance malgré un moteur tout à fait modeste de 120 ch. Après la disparition de Rover, ce sont des mécaniques Toyota qui ont pris place dans la petite Lotus. Devenue de plus en plus puissante durant sa belle carrière de 25 ans, elle a culminé à 246 ch, tout en restant toujours en dessous de la tonne. Avec l’Exige et l’Evora, elle a disparu du catalogue pour faire place à l’Emira.
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Lamborghini Aventador
Comment résumer la Lamborghini Aventador : une ligne incroyable, un V12 à la musique extraordinaire et des performances incroyables. La Supercar du constructeur au taureau était encore d’une ancienne trempe, celle des gros moteurs atmosphériques avec son V12 de 6,5 litres développant 700 ch dans sa première version et jusqu’à 780 ch dans les ultimes développements. Il faut croire que la recette a plus à une clientèle qui a les moyens de tout s’offrir puisque presque 11.500 voitures ont été produites entre 2011 et 2022 !
Honda NSX
Lancée en 2016, la seconde génération de la Honda NSX s’est faite très rare sur le Vieux Continent. Construite aux Etats-Unis où la presque totalité de la production a été écoulée, la sportive deuxième du nom n’a pas réussi à dépasser le premier modèle en termes de notoriété. Pourtant, les ingénieurs de Honda avait mis le paquet avec un V6 hybride de 3,5 litres de 581 ch et 645 Nm, une transmission intégrale et une boîte robotisée à double-embrayage, la sauce n’a pas vraiment pris. Dommage…
Kia Stinger
Ok, la Stinger n’est peut-être pas aussi prestigieuse que les autres voitures abordées dans cet article mais elle représentait une belle tentative de la part de Kia de s’illustrer dans le segment des berlines sportives premium. Bien dessinée et très correctement finie, elle est disponible au départ avec deux motorisations essence (2.0 turbo de 255 ch et V6 3.3 biturbo de 365 ch), bientôt rejointes par le bloc diesel 2.2 de 200 ch.
Très agréable à conduire et confortable grâce à sa suspension adaptative et son châssis particulièrement au point, la Stinger est une véritable démonstration de savoir-faire de la marque. Malheureusement, l’absence d’image (en matière de luxe) de Kia et des taxes pénalisantes l’en rendue trop rare sur la route. Récemment, la fin de la production de la Stinger a été annoncée et les dernières voitures devraient sortir de la chaîne en mars 2023.
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