Avec ce concept, si le constructeur prouve qu’il s’éloigne de plus en plus des dimensions de la Mini originelle, il n’en propose pas moins une énième interprétation – ô combien désirable ! – évoquant les Austin-Healey Sprite, MG A et autres Triumph Spitfire.
Concrètement, la face avant et les roues aux quatre coins renvoient clairement à la troisième génération de Mini. Par contre, les flancs, la découpe des portes, le traitement de la poupe et le dessin des feux arrière s'inspirent des productions anglaises des années 1960. Dessinant l'Union Jack, les feux arrière ressemblent d’ailleurs à s’y méprendre à ceux d'une Marcos. La touche caractéristique du carrossier milanais, quant à elle, est bien sûr la nageoire traversant le capot arrière sur toute sa longueur.
L'habitable, pour sa part, est dépouillé. Il se contente d’une planche de bord réalisée d'un seul bloc en aluminium poli, s’offre un volant à la jante en cuir et fait l’impasse sur les nombreux boutons de la Mini actuelle. Seul l’écran central a été conservé.
Enfin, cette Mini est 100 % écolo. En effet, elle s’anime grâce à un moteur électrique. Top ! Mais, écrivons-le d’emblée : cette Mini ne sera jamais produite et, en réalité, n’annonce que quelques éléments stylistiques du futur Mini Roadster.
Et vous, que pensez-vous de cette Mini Superleggera ?
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