Construite sur la nouvelle plateforme E-Sports de la marque britannique, elle n’arrivera qu’en 2026. Pour nous faire patienter, Lotus a tout de même révélé quelques détails.
A l’instar de la première Elise, elle disposera d’une plateforme légère destinée à favoriser les performances et un comportement routier aiguisé. Selon le magazine Autocar, elle sera 37% plus légère que celle de l’Evora.
Puissance en très forte hausse
Par rapport à l’ancienne Elise, la révolution se passe sous le capot : on le sait, le moteur thermique sera remplacé par une mécanique électrique qui développera la puissance impressionnante de 476 ch, surtout lorsqu’on sait que cette voiture sera le modèle d’entrée de gamme de Lotus. On n’ose dès lors imaginer la puissance des autres !
Pour gérer cette cavalerie, la remplaçante de l’Elise disposera du système Torque Vectoring veillant au grain pour éviter tout débordement à cause du couple important. Equipée d’une batterie d’une puissance de 66,4 kWh, la voiture disposera d’une architecture 800V (comme la Porsche Taycan, l’Audi e-tron GT, la Hyundai Ioniq 5 ou la Kia EV6) permettant des recharges très rapides. Pour l’anecdote, la batterie sera située derrière les sièges, verticalement, pour que le centre de gravité du véhicule demeure très bas !
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Mauvaise nouvelle
Comme vous pouvez l’imaginer, cette technologie a un coût qui se répercutera dans le prix de la voiture qui démarrera à… 120.000 €, soit à peu près le double des dernières Elise thermiques.
Quand on sait que le premier modèle dévoilé en 1996 était affiché à 25.000 €, on se dit que l’anglaise a fait beaucoup de chemin. Le concept de la Lotus légère et relativement abordable a malheureusement bien changé…
Photo d’article : Lotus Evija
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