Électrique

Si le marché des voitures d’occasion se porte bien, on constate une forte diminution des prix pour les modèles 100% électriques. Pourquoi ? Tout simplement parce que la demande des particuliers pour ces véhicules est presque inexistante…

Chacun son tour : alors que jusqu’ici, c’étaient les voitures thermiques qui étaient soumises à des réglementations européennes strictes, la voiture électrique va aussi y avoir droit. Les batteries en particulier vont devoir respecter une série de prescriptions bas-carbone, de durabilité et de réparabilité. Espérons que le coût de cette série de réglementation ne retombera pas sur les acheteurs.

Les ventes de voitures électriques ont encore reculé dans toute l’Europe, mais pas en Belgique, qui fait figure d’exception et enregistre des records. Un autre type de groupe motopropulseur est par contre en forte progression.

La recharge rapide reste l’un des grands défis des voitures électriques mais la technologie évolue rapidement dans ce domaine. BYD et CATL développent une batterie qui peut être rechargée complètement en 10 minutes.

Il fallait s’attendre à ce que la première Ferrari alimentée par des batteries ne soit pas vraiment une bonne affaire mais cela dépend de la façon dont on voit les choses. Les voitures de sport électriques hors de prix ne manquent pas en ce moment.

Ces derniers mois, la start-up d’automobiles électriques Fisker a tenté de conserver la tête hors de l’eau. Mais les efforts d’économie ou les offensives commerciales n’ont pas payé et aujourd’hui, la marque dépose le bilan. Avec quelles conséquences pour les clients qui ont acquis un Ocean ?

L’Europe a donc décidé d’augmenter les droits de douane sur les voitures importées de Chine. À partir du 1er juillet, ceux-ci augmenteront entre 17 et 38% sur tous les produits importés. Mais les constructeurs ne semblent pas disposés honorer la facture qui va être reportée sur les automobilistes.

Les nouveaux droits de douane fixés par l’Union européenne visent à endiguer l’afflux de voitures chinoises à bas coût sur nos marchés. L’objectif est bien entendu de protéger l’industrie du vieux continent qui ne peut jusqu’ici rivaliser. Pour certains observateurs, ce serait même une opportunité pour l’industrie automobile de notre pays.

Si la voiture électrique fait peur, c’est pour (presque) une seule raison : sa batterie et, outre son autonomie, sa potentielle dégradation. Une étude montre pourtant que les remplacements de packs sont franchement rares. De quoi instaurer la confiance ?

Les bonnes résolutions semblent être de courte durée. : alors que Volkswagen se présentait comme le chantre de l’électrique après l’affaire du Dieselgate, le constructeur revoit sa copie et a décidé de réallouer une part significative de ses investissements dans les moteurs thermiques.

Le lancement d’une nouvelle voiture est toujours un moment crucial pour un constructeur, surtout quand celle-ci est une vitrine technologique destinée à allier son héritage et son futur proche. Nous avons assisté aux deniers essais de mise au point de la berline Lotus Emeya.

Malgré le contexte généralisé de ralentissement pour la voiture électrique, le géant chinois compte bien s’installer durablement sur le vieux continent. Après avoir annoncé une première usine en Hongrie, le constructeur a annoncé son intention d’ouvrir un deuxième site de production. La stratégie semble des plus claire.

Il aura fallu attendre la fin des élections pour que l’Union européenne communique sa décision. Malgré les pressions et la menace d’une guerre commerciale, Bruxelles va malgré tout augmenter sensiblement les droits de douane sur les importations de voitures chinoises.

La production du Volvo EX90 électrique a débuté aux États-Unis cette semaine. Ce grand SUV est la première voiture à disposer d’un passeport batterie, qui sera obligatoire en Europe à partir de début 2027. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

Jusqu’ici, les constructeurs automobiles chinois sont présentés comme des envahisseurs prêts à conquérir l’Europe comme on rase une forêt. Ce n’est toutefois pas ce que les chiffres montrent puisque sur les 3 premiers mois de l’année, les importations de voitures chinoises ont baissé en Europe. Explications.