1. Porsche 914
Conçue à la fin des années 60 par Volkswagen et par Porsche, la 914 a beaucoup souffert d’une crise d’identité. Jugée trop exclusive et trop roturière par la clientèle respective des deux constructeurs, elle n’a pas vraiment connu le succès. Pourtant, elle ne manquait pas d’atout avec son toit amovible, ses deux coffres et son moteur placé en position centrale arrière qui la rendait équilibrée. Et si les moteurs VW manquaient d’un peu de souffle, la version 914-6 avec le 6 cylindres 2.0 litres Porsche se montrait très convaincante.
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2. Fiat 124 Spider
Construite sur la plateforme de la Mazda MX-5 ND, la Fiat 124 Spider a fait son grand retour sur le marché en 2015, après une absence longue d’une trentaine d’années. Contrairement à la japonaise, elle disposait du moteur 1.4 Multijet « maison » qui était envoyé dans l’usine d’Hiroshima pour être assemblé au reste de la voiture. Même si elle était agréable à l’usage, elle n’a pas pu rivaliser avec l’icône qu’est la MX-5. En 2019, sa production a été arrêtée après seulement 36.500 exemplaires.
3. Jaguar XE
Rivale des BMW Série 3, Audi A4 et Mercedes Classe C, la Jaguar XE n’a jamais réellement percé sur le marché des berlines « premium ». Malgré un look plutôt réussi et des capacités dynamiques évidentes, elle n’a pas réussi à détrôner les reines « historiques » du segment. En 2019, Jaguar a essayé de corriger le tir avec la XE phase 2, sans grand succès malheureusement.
4. Toyota IQ
Mignonne, extrêmement pratique et bien plus agréable à conduire qu’une Smart de la même époque, la Toyota IQ était la voiture urbaine la plus réussie du début des années 2000. Pourtant, la sauce n’a pas pris et elle a du mal à trouver sa clientèle dès les premiers mois de sa commercialisation. Lancée en 2008, elle a été abandonnée par Toyota en 2014, dans l’indifférence presque générale. Dommage…
5. Peugeot 508 PSE
Les ventes de la première voiture hybride rechargeable sportive de Peugeot sont décevantes. La 508 PSE (qui signifie Peugeot Sport Engineered) est équipée d’un moteur à essence 1.6, assisté par deux groupes propulseurs électriques, le tout développant 360 ch au total. La berline est proposée à partir de 68 900 €, tandis que le break coûte 70 900 €. Jusqu’à présent, Peugeot a à peine vendu plus de 2 000 unités. Malgré son beau comportement et ses performances intéressantes, son prix élevé décourage de nombreux intéressés.
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