La politique de circulation plus stricte annoncée par le ministre de la Justice Van Quickenborne n’a pas que des opposants. Le groupe progressiste flamand Vlinks estime que le moment est venu d’imposer des amendes plus strictes et plus élevées, car dans notre pays, le Code de la route est bafoué à grande échelle.
Opinions
La Tesla Model S a récemment fait peau neuve et l’une de ses nouvelles caractéristiques est un volant de type Formule 1. Futuriste, certes, mais les plaintes des clients ont déjà fait surface sur Internet. En fait, pas mal de personnes ne seraient pas vraiment convaincues de l’efficacité du volant à empiècement et celui-ci serait même considéré comme dangereux. Il suffit de regarder cette vidéo qu’un conducteur de Tesla a publiée sur Youtube.
Avant-hier, il a été annoncé que Lydia Peeters, ministre flamande de la mobilité, avait ordonné la mise en place de vingt nouveaux radars tronçons en Flandre. À peu près au même moment, nous avons appris que les marges de tolérance des radars, également appelées “corrections”, seraient supprimées. Le gouvernement a-t-il un besoin urgent d’argent ou tout cela est-il vraiment fait sous couvert d’une plus grande sécurité routière ?
Selon Eva Van Eenoo, experte en mobilité travaillant à la VUB, il devrait y avoir des zones sans SUV dans les centres-villes belges. Un peu comme les LEZ qui empêchent les voitures trop polluantes de circuler, mais pour les SUV. “Ces voitures provoquent davantage d’émissions de CO2 et les dégâts après un accident sont plus importants”. Tout le monde n’est pas favorable à cette idée.
Les zones à faibles émissions, ou LEZ en abrégé, rapportent beaucoup d’argent. Une bonne nouvelle pour les trésors publics, même si cela ne devrait pas vraiment être l’intention. De plus, on dit qu’ils ne font que creuser le fossé entre les riches et les pauvres, ce qui n’est pas faux.
Récemment, un reportage de Test Achats a suscité de sérieux sentiments. Un de leurs employés a traversé la Belgique avec une nouvelle voiture électrique et la conclusion était qu’il y a encore beaucoup de travail à faire, tant pour les constructeurs que pour l’infrastructure. Chez AVERE, ils ne sont pas satisfaits du test en question. La fédération de la mobilité électrique parle même d’amateurisme.