Mobilité

La voiture de société est régulièrement critiquée en Belgique. Certains y voient une iniquité entre les travailleurs tandis que d’autres y voient un frein à la transition énergétique. Si on en croit le journal économique l’Écho, Ecolo voudrait remettre le dossier sur la table du gouvernement avec à la clé, un scénario de sortie pour la voiture de société.

Faut-il réduire la vitesse maximale sur les autoroutes comme le préconise le groupe d’experts qui conseille le gouvernement sur la préservation du pouvoir d’achat et de la compétitivité ? Pour VIAS, ce serait plutôt « non ». Un comble ? Pas forcément !

Pour contrôler au mieux le budget des vacances, Google Maps fournira à ses utilisateurs le prix des péages sur leur itinéraire en plus des informations habituelles.

Pour remettre un peu d’ordre dans le chaos des trottoirs, la ville de Gand met désormais à disposition des parkings spéciaux pour vélos cargo afin de pouvoir les garer plus facilement.

La mobilité dans nos villes est en pleine révolution et la voiture doit faire place à d’autres moyens de transport. Mais aujourd’hui, le scooter est également sous le feu des critiques, puisque Paris va introduire le stationnement payant pour lui. Devra-t-on bientôt se déplacer à pied ?

Réunis à Luxembourg, tous les ministres des Transports européens ont décidé de rendre obligatoire l’implantation d’une borne rapide à 60 km d’intervalle sur les autoroutes du Vieux Continent. De quoi convaincre les automobilistes de passer à la voiture électrique ?

C’est presque passé inaperçu : les ministres fédéraux de l’écologie en Allemagne se sont mis d’accord pour acter la fin des autoroutes à vitesse illimitée. Un tournant historique.

C’est en tout cas ce que souhaite le gouvernement néerlandais avec le défi #geendruppelpetrol, qui demande aux automobilistes de se passer de leur voiture jusqu’au 1er juillet. Il s’agit d’une action amusante qui permet à chacun d’économiser beaucoup d’argent en ne conduisant pas.

Afin de rendre la transition énergétique possible, le gestionnaire de réseau Fluvius investira 4 milliards d’euros supplémentaires dans l’infrastructure électrique en Flandre au cours des 10 prochaines années pour permettre le fonctionnement du nombre croissant de voitures électriques et de pompes à chaleur. 

Selon la fédération des négociants en carburant, la consommation d’essence et de Diesel a baissé en Belgique au cours de ces deux derniers mois. La crise frappe donc le portefeuille. Et le Belge commence à moins rouler.

Faute de budgets, la Région bruxelloise a décidé de reporter ses investissements dans les infrastructures routières et notamment dans la rénovation pourtant urgente d’une série de tunnels. Une (grave) erreur de gestion dont les automobilistes feront les frais ?

C’est malheureusement de notoriété internationale : les routes belges sont fortement dégradées, ce qui n’est pas sans poser quelques problèmes de sécurité et de confort, mais aussi de destruction aux véhicules. Où est le problème ? Probablement dans le principe de construction de nos routes qui fait uniquement appel à l’offre la moins chère du marché.

Les villes ne reculent devant aucun sacrifice pour rendre l’environnement plus vert… et pour décourager l’usage de la voiture. On apprend ainsi que la Ville de Paris envisage de transformer le périphérique en voie verte qui serait exclusivement réservée au covoiturage. Réaliste ?

Selon une enquête d’Athlon Belgium, seuls 0,5% des salariés utiliserait leur budget mobilité. C’est évidemment très peu. Cela dit, les jeunes seraient les plus attirés vers cette offre. Est-ce de la nouvelle génération que naîtra le changement de paradigme ?

La plaque d’immatriculation personnalisée reste populaire en Belgique. Quiconque est prêt à payer 1.000 euros pour cela peut obtenir une plaque spéciale. Toutefois, toutes les combinaisons ne sont pas autorisées. Explications.