Décidément, c’est un coup dur pour la transition vers la voiture électrique : après la France qui restreint son bonus écologique, l’Allemagne a décidé de supprimer purement et simplement les primes à l’achat concernant les voitures électriques. Pour le secteur, c’est un coup très dur, car cela menace les objectifs fixés pour 2030.
Électrique
C’est la course contre la montre autour de la voiture électrique. Alors que la technologie est encore balbutiante, les autorités ont décidé de l’imposer à tous dans un laps de temps très court. C’est dans ce contexte que Laurent Castaignède, un ingénieur français spécialisé dans l’analyse de l’impact environnemental du transport, a publié un livre qui met en garde contre un potentiel « electricgate ». Voici sa vision.
La France prend une mesure radicale qui pourrait bien freiner le mouvement de transition vers la voiture électrique : désormais, les voitures électriques fabriquées en Chine ne pourront plus bénéficier du bonus écologique. Mais n’est-ce pas au détriment de l’automobiliste, encore une fois ?
Quelques jours à peine après le vote du Parlement européen qui entérine l’interdiction de vendre voitures neuves à moteur thermique en 2035, l’Italie monte au créneau. Les mots sont forts : le ministre de la Mobilité qualifie ce plan de « suicide » et de « cadeau à l’industrie chinoise ».
Pour imposer la voiture électrique, il faudra que son coût diminue drastiquement. Ce serait possible et même dès 2026 si les recherches aboutissent pour les packs HLM (high lithium, manganèse) qui seront beaucoup moins chers que les LFP. Et dans cette course à la trouvaille, le Belge Umicore est très bien placé.