La Flandre possède un important déficit dans son budget et, pour le combler, « des mesures moins populaires vont devoir être prises ». Les politiciens envisagent de s’en prendre une nouvelle fois à l’automobile et particulièrement aux ancêtres pour lesquels ils envisagent de plus que doubler la taxe routière annuelle (les véhicules avec une plaque d’immatriculation O).
Taxes
Toujours basée sur le vieux système de la puissance et de la cylindrée, la fiscalité automobile wallonne va évoluer radicalement. Ce sera à partir de 2023. On imagine que la taxation sera plus juste, mais aussi plus favorable aux véhicules propres.
Très courantes en Belgique, les voitures de société représentent un avantage financier pour le travailleur. Cependant, est-il intéressant à long terme ? C’est ce que nous allons voir…
Selon la Commission européenne, la taxe kilométrique de Bruxelles n’est pas discriminatoire à l’égard des citoyens des autres États membres. Le Conseil d’État doit maintenant décider si les droits des Flamands et des Wallons sont violés par cette mesure. Et ainsi, la taxe de circulation intelligente bruxelloise pourra être définitivement mise en place. (image : Belga)
Une enquête menée auprès de nos voisins du Nord montre que la plupart des automobilistes préfèrent que l’utilisation de la voiture serve de base à la taxation et qu’ils pensent que le gouvernement devrait stimuler la transition vers la conduite électrique. Les Belges souhaiteraient-ils également une tarification routière ?
Les voitures 100% électriques ont toutes les chances de se répandre comme une traînée de poudre dans les années qui viennent. En particulier, car ce sont encore les seules automobiles qui bénéficieront encore d’ici peu d’une déductibilité fiscale. La législation va en effet changer. Suivez le guide…
Si la taxation est lourde tous azimuts en Belgique, elle l’est aussi pour l’automobile, secteur qui, en plus d’un impôt fédéral via la TVA ou les accises sur le carburant, connaît aussi plusieurs taxations régionalisées. Vous vous demandez quels sont les grands principes de la taxe de circulation belge ? Suivez le guide !
Le Fonds Monétaire International (FMI) conseille à la Norvège de taxer les voitures électriques les plus chères. La Norvège est actuellement le pays où la part de l’électrique est la plus importante au monde. Un tel prélèvement fiscal présenterait plusieurs avantages.
Vincent Van Peteghem, ministre fédéral des Finances, a développé un projet de loi visant à revoir le calcul des cotisations CO2, appelées également cotisations de solidarité. Voici ce qui va changer.
L’Avantage de toute nature (ATN) est un impôt. Une taxation dont l’employé qui dispose d’une voiture de société doit s’acquitter. Le montant de cette taxation varie en fonction du véhicule, en particulier de son prix et de ses émissions de CO2.
Les utilitaires sont nombreux dans notre pays. Leur usage est évidemment nécessaire pour assurer certaines professions ou le transport de nos biens, mais ils sont aussi de plus en plus plébiscités par le grand public qui y trouve plusieurs avantages, dont une fiscalité plus douce. Explications.
Hier soir, le gouvernement fédéral a conclu un accord sur le verdissement du parc automobile des entreprises : à partir de 2026, seules les voitures sans émissions (lire : électriques) seront entièrement déductibles des impôts ! Est-ce que cela signifie la fin de la voiture de société en Belgique ?
L’Open VLD a soumis une proposition visant à réduire la déductibilité fiscale totale des voitures électriques à environ 70 % d’ici 2029. Selon le Premier ministre Alexander De Croo, “le prix des VE va baisser de toute façon”, bien que cela semble surtout un moyen de réduire l’écart dans le budget.
En Belgique, les automobilistes sont les plus lourdement taxés, selon l’ACEA, la fédération européenne du secteur, qui a passé 13 pays différents à la loupe. “Les Belges dépensent en moyenne 3 187 euros par an en taxes sur les véhicules.
L’accord de coalition Vivaldi met fin aux voitures de société à moteur à combustion à partir de 2026. Vincent Van Peteghem (CD&V), notre ministre fédéral des Finances, vient d’annoncer que les premiers pas dans cette direction devront être faits dès 2023.