Le prix maximum d’un litre de gasoil de type B7 augmente de plus de 20 centimes d’euro, pour atteindre 2,286 euros/litre. La population subit pendant que le gouvernement « évoque » l’éventuelle mise en application du cliquet inversé pour réduire les accises.
Actualité
La zone de basses émissions à Bruxelles fait rentrer de l’argent dans les caisses de la Région. Rien qu’en 2021, le nombre d’amendes pour non-respect a en effet augmenté de 30%
En Belgique et dans toute l’Europe, les prix des carburants s’envolent. Cela dit, pas très loin d’ici, on peut encore faire des pleins très bon marché. En Russie par exemple, le litre de Diesel se trouve pour moins de 50 centimes d’euro. Surprenant !
Malgré les hausses de prix sans précédent, il y a encore des nouvelles positives à signaler sur le marché de l’énergie. Ce mois-ci, la conduite électrique deviendra considérablement moins chère grâce à la réduction de la TVA qui entre en vigueur le 1er mars.
La crise énergétique frappe le monde et la Belgique en particulier. Actuellement, ce sont les entreprises et les particuliers qui en font les frais. Pour les carburants, l’activation du cliquet inversé est sur la table depuis plusieurs mois et il semble (enfin !) avoir un consensus entre les partis politiques. (image : Belga)
Un nouveau rapport de la CREG, l’organisme de surveillance de l’énergie, indique que la Belgique dépend à 40% du gaz naturel russe et que la construction de nouvelles usines à gaz dans notre pays n’est donc vraiment pas appropriée. Implicitement, la CREG plaide donc pour le maintien des centrales nucléaires ouvertes afin d’assurer l’approvisionnement en énergie.
Pour éviter les frais, les Belges sont particulièrement attentifs à la fiabilité de leur voiture sur le long terme. Mais malheureusement pour le commerce européen, les marques les plus fiables ne sont pas celles du vieux continent.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie occupe toutes les pages de l’actualité mondiale tandis que les appels à aider les habitants de ce pays sinistré se multiplient. Plusieurs marques automobiles ont d’ailleurs décidé de mettre la main (sérieusement) au portefeuille. Une vague de solidarité sans précédent.
Le prix du Diesel a franchi la barre des 2 euros/l ce week-end. Un seuil psychologique qui a finalement entraîné une réaction dans les rangs du gouvernement. Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, veut notamment introduire un tarif plafonné de 1,60€.
C’est historique : le litre de Diesel dépassera les 2 euros par litre dès samedi 5 mars 2022. Les impacts de la guerre en Ukraine se font ressentir à travers tous les autres pays du monde et particulièrement auprès des consommateurs qui n’ont jamais payé leur énergie aussi cher.
À côté des sanctions financières prises par les pays occidentaux à l’encontre de la Russie, un autre phénomène émerge : de plus en plus d’entreprises refusent d’acheter du pétrole russe… Or, la Russie compte pour 10% de la production mondiale. Une situation qui met gravement en péril l’équilibre entre offre et demande qui pourrait nous mener vers un nouveau choc pétrolier.
En raison de la hausse des prix à la pompe, un phénomène que l’on croyait oublié réapparaît : des voleurs subtilisent à nouveau le carburant des voitures en stationnement, causant souvent des dommages dont le coût dépasse celui du vol proprement dit.
Pourquoi le litre d’essence ou de Diesel atteint-il des records aujourd’hui alors qu’en 2014, le prix du baril était encore plus haut ? Explications.
La rue Belliard devait être amputée d’une bande de circulation au profit de la mobilité douce. Mais le projet est reporté. Simple décalage dans le temps ou prise de conscience des autorités ?
Les sanctions imposées à la Russie par l’Europe et les États-Unis commencent à montrer leurs effets. Les livraisons de marchandises par exemple sont déjà compromises pour une part. Volvo est ainsi le tout premier constructeur automobile à annoncer qu’il ne livrera plus de voitures en Russie, et ce alors que Volvo fonctionne sur des capitaux… chinois ! D’autres marques suivront probablement. (MISE À JOUR : Ford, Honda, Toyota, Mazda, Volkswagen, General Motors, Jaguar Land Rover et BMW ont également suspendu leurs activités en Russie !)