La proposition prête à sourire, mais elle est très sérieuse : le CD&V voudrait utiliser les câbles aériens des trams et des trains comme réseau de bornes de recharge pour les voitures électriques. Sérieusement ?
Politique
Cette fois, c’est bien fini pour le moteur thermique : le Parlement européen réuni à Strasbourg a bien voté la réglementation mettant fin aux voitures à combustion dès 2035.
Depuis de nombreux mois, la Wallonie travaille à une réforme de la fiscalité automobile, mais sans succès. Le dernier projet a été toute simplement rejeté, faute de cohérence. Philippe Henry, ministre de la Mobilité, revient avec une version allégée et qui concerne cette fois uniquement la taxe de mise en circulation.
Le Président de la commission de l’Environnement du parlement européen souhaite que les entreprises ne puissent plus acheter que des voitures électriques dès 2030, soit bien avant la sortie officielle du thermique, prévue pour le 1er janvier 2035.
Les partenaires sociaux se sont mis d’accord : tous les employeurs du pays devront proposer une indemnité vélo aux travailleurs qui se servent de ce moyen de transport. Le remboursement est fixé à 0,27 eurocents du kilomètre.
Les accidents récents – et mortels – lors de rallyes automobiles entraînent une profonde réflexion au sein de cette pratique sportive. En l’absence de législation claire, plusieurs bourgmestres ont décidé d’annuler le calendrier prévu.
Un groupe de chercheurs a mis la main sur des archives du grand pétrolier américain ExxonMobil. Dès 1977, des scientifiques du groupe avaient prédit le réchauffement climatique avec une surprenante précision. Des informations que le pétrolier a naturellement cachées.
Alors que l’Europe et d’autres parties du monde comptent interdire la voiture thermique à l’horizon 2035, certaines autorités prennent le contre-pied de cette mesure. Aux États-Unis par exemple, un état entend même… interdire les voitures électriques en 2035. Réaliste ?
À Lille, les autorités ont pris le contre-pied total de la tendance actuelle : au lieu de sanctionner les automobilistes, ceux-ci sont récompensés financièrement s’ils n’utilisent pas leur voiture pendant les heures de pointe. Révolutionnaire.
L’arrivée du permis de conduire à points en Belgique continue de faire débat. Annoncé pour 2024 par le gouvernement, il semble que les choses soient plus compliquées que prévu. En Wallonie par exemple, la ministre en charge de la Sécurité routière estime qu’il n’a pas sa place, car ses effets sont limités.
Souvent le débat autour de la voiture électrique tourne court et se résume à une opposition : pour ou contre. Parmi les constructeurs, au moins un se montre farouchement opposé au déploiement des véhicules électriques. Voici pourquoi.
Récemment, VIAS a fait une sortie pour demander la suppression de la filière dite des 30 heures pour le passage du permis de conduire. Selon l’organisme, cette suppression doit avoir lieu pour des raisons de sécurité routière. D’accord, mais plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer une mesure antisociale. Qu’en est-il ?
La riposte du Kremlin aux pays occidentaux visant à plafonner le prix du pétrole ne s’est pas fait attendre. Vladimir Poutine a décrété que dès le 1er février 2023, il ne vendrait plus de pétrole aux pays qui plafonnent les prix. Nouvelle crise en vue ?
Récemment le gouvernement flamand a décidé de durcir sérieusement les conditions d’accès aux zones de basses émissions dès 2031. Dès cette date, toutes les voitures Diesel en seront bannies. Est-ce vraiment réaliste et, surtout, n’est-ce pas antisocial ?
Cafouillage en Wallonie : en raison de la non-publication des arrêtés d’application, les zones de basses émissions (LEZ) qui devait entrer en vigueur en janvier 2023 ne seront pas instaurées. Dans le contexte, le politique a du se réorganiser. Officiellement, les zones de basses émissions au sud du pays entreront en vigueur au 1er janvier 2025.